Le terroriste Ben Ouattara Dramane serait-il a court d'argent ?

Adeptes des troubles à l’ordre public en Côte d’Ivoire, les hommes de Ouattara Dramane, multiplient les réunions secrètes. En vue de planifier des attaques dans le District d’Abidjan. Un schéma qui compte beaucoup dans le dispositif du «président» du Golf, dans sa tentative de l’opération «pays mort» qui n’émeut personne. Seulement voilà. Le «brave-tchê» semble financièrement épuisé. Si bien que les hommes

recrutés pour des activités subversion dans la capitale économique (Abidjan) n’attendent plus livrer un combat à crédit. C’est ce qui explique, en partie, l’attaque avortée du lundi 17 janvier 2011, perpétrée par des éléments de l’Organisation des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) contre la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), sise au Plateau.

Voulaient-ils une fois de plus donner un coup de main à leurs amis ? En tout cas, si ce braquage des hommes de Young Jin Choï réussissait, cela aurait pu constituer un véritable trésor de guerre pour les combattants. Qui allaient s’en mettre plein les poches, pour le reste des coups en préparation. Certes, l’opération a échoué. Mais les mêmes et leurs complices projettent d’autres attaques ciblées contre certaines succursales de banque dans les communes d’Abidjan. Celles de Yopougon sont les plus visés. Nos sources bien introduites dans le milieu de l’Hôtel du Golf, confient que dans un futur très proche, ces agences connaîtront des attaques. Les mêmes sources ne cachent pas non plus l’éventualité d’une attaque armée des rebelles des corridors de Km 17 et de Gesco.

Ces deux passages tenus par des Forces de défense et de sécurité (Fds) seront agressés simultanément. Après qu’ils ont chargé le corridor de Gesco, les assaillants contourneront ce barrage -qui va certainement riposter-, pour emprunter une voie déjà repérée dans les bas-fonds du quartier de Gesco, afin d’atteindre le corridor du Km 17.

La Gendarmerie et le Commissariat du département de Dabou sont aussi menacés d’une attaque rebelle. Le seul et véritable problème auquel les hommes de Ouattara et de Guillaume Soro sont confrontés est celui du nerf de la guerre. C’est la dèche dans leur camp. Aussi leur faut-il met-tre la main sur un butin de banque, pour s’assurer. En attendant le mot d’ordre pendant cette période dite d’opération «pays mort», que le camp Ouattara appelle. Dans la foulée, le Palais de Justice de Yopougon est ciblé pour être incendié. Les raisons qui poussent à une telle bestialité sont encore méconnues des Ivoiriens. Seuls les commanditaires en savent beaucoup plus. Telles sont, selon nos sources, les actions qui sont réservées aux Ivoiriens.