Notre boite de courrier électronique ne désemplit pas de messages indiquant la présence de forces spéciales françaises, d'éléments du Cos français (opérations spéciales), de matériel de guerre etc. Le Temps vous livre les informations telles qu'il les a reçues.
Il est vrai que l'armée ivoirienne prend des dispositions pour contrer toute attaque. Mais l'analyse faite des Forces en présence et la détermination des Forces de Défense et de Sécurité de Côte d'Ivoire (Fds-ci) qui
veulent laver l'affront à eux fait par quelques « lacrous » alors aidés par la France, indiquent que le risque de déflagration généralisée qui pourrait même toucher le Burkina Faso est trop grand et serait à l'avantage du Président Laurent Gbagbo. Tel qu'il est connu, il est à chercher à comprendre la « trop grande » assurance et le fondement des dernières sorties menaçantes d'Alassane Ouattara. Pour qui le connait, son comportement est un bon indicateur. Il agit toujours comme « l'aveugle qui a un pied sur la pierre ». La question était alors de savoir quelle est cette « pierre » qui le rassure tant ? Ecartant l'option trop risquée pour eux, de l'offensive militaire de terrain, il ne reste plus que des actions commandos ciblées. Recherches faites, des possibilités sont évoquées ici:
veulent laver l'affront à eux fait par quelques « lacrous » alors aidés par la France, indiquent que le risque de déflagration généralisée qui pourrait même toucher le Burkina Faso est trop grand et serait à l'avantage du Président Laurent Gbagbo. Tel qu'il est connu, il est à chercher à comprendre la « trop grande » assurance et le fondement des dernières sorties menaçantes d'Alassane Ouattara. Pour qui le connait, son comportement est un bon indicateur. Il agit toujours comme « l'aveugle qui a un pied sur la pierre ». La question était alors de savoir quelle est cette « pierre » qui le rassure tant ? Ecartant l'option trop risquée pour eux, de l'offensive militaire de terrain, il ne reste plus que des actions commandos ciblées. Recherches faites, des possibilités sont évoquées ici:
L'emploi de soporifiques
Cette option est peu coûteuse et moins voyante. Elle consisterait à endormir les soldats sur des sites ciblés. A l'aide de gaz soporifiques (ou somnifères) contenus dans des cannettes (canisters) et lancées à partir de drones ou de fusils lanceurs silencieux ou non détonants. Chose après quoi, il ne leur restera plus qu'à cueillir les soldats endormis et passer ou agir suivant le site de l'opération. La faisabilité est grande et réaliste. Même si elle pourrait être gênée par des vents non favorables. Pour contrer cela, les soldats aux points névralgiques devraient être équipés de masques à gaz. Et l'armée de l'air devrait être vigilante dans la surveillance de l'espace aérien ivoirien. Interdire tout aéronef non civil et se doter des moyens de « tomber » tout drone.
L'Impulsion électromagnétique (Iem)
Un peu plus chère, mais plus efficace et non soumise aux aléas météorologiques, cette option n'est pas à écarter. L'on sait de source interne que du matériel d'émission radio (ondes hertziennes) a été livré à l'hôtel du Golf. Certains pensent à la mise en place d'une télévision. Diversion. C'est une fausse piste. Et même si la mise en place de la radio Rhdp a été effective à un moment donné, c'est un leurre pour faire penser à la mise sur pied d'une télé dont l'utilité n'est pas évidente actuellement. A la vérité, ce matériel est destiné à la mise sur pied d'un émetteur d'Impulsion électromagnétique (Iem). Et si Ouattara est menaçant actuellement, c'est parce qu'il a été « briefé » sur l'efficacité de la méthode quasi-chirurgicale. Des assurances lui ont été également données quant aux délais de mise en œuvre qui n'excèderaient pas fin janvier 2011.
Les Iem ont pour effets de neutraliser tout matériel électronique ou mécanique à commande électronique (char, lance-missile, émetteur radio-télé, etc.) Elles ont aussi pour effet d'étourdir tout être vivant dans leur rayon d'action. La résidence du Président de la République, Laurent Gbagbo, n'est pas loin du Golf.
La parade est la mise en place de cages de faraday. Le département de Physique (électronique, électrotechnique, physique atmosphérique, etc.) de l'Université d'Abidjan doit être mis à contribution. Pour appuyer l'armée régulière qui dispose aussi en son sein, d'ingénieurs hautement qualifiés. Il existe aussi des solutions toutes faites, tel le PR4G, appareil radio de quatrième génération, réalisé par Thomson (société française) à acquérir. Le rayon d'action des Iem peut également être élargi en s'appuyant sur les relais de téléphonie cellulaire.
Son emploi se décline aussi en arme embarquée sur un véhicule roulant (pick-up ou Jeep) avec le Pulsed energy projectile, développé par des firmes comme ATK. Dans une telle configuration, l'appareil permet de viser une foule aussi bien qu'un individu. Et de contrôler l'ampleur des dommages qu'on cause à la cible. Avec une portée de 2 km, il est efficace contre des adversaires embusqués. Puisqu'il suffit de l'orienter dans leur direction et non pas de les viser exactement.
En somme, depuis longtemps, ils ont usé de beaucoup de tromperies pour détourner l'attention des Ivoiriens sur leurs réelles motivations dénoncées plus haut. Les preuves qui suivent expliquent tout. Il y a par exemple, le choix du site de l'Hôtel du Golf, pour sa proximité avec la résidence du Président et des installations de l'Atci à Anoumabo ; les équipements radios convoyés sur ledit site ; la mise en place de la radio du Rhdp pour des tests de brouillage de la Rti. Sachant que la population pourrait intervenir au cas où, ils se sont dotés de camions à canon à eau pour contenir toute émeute. Mieux, les conteneurs d'armes et d'équipements saisis au port sont de véritables leurres. Trop intelligents pour commettre de telles « gaffes ». Car, ils ont le port de Dakar et des Transalls pour la liaison.
Autant d'informations à prendre au sérieux. D'autant que ces grandes puissances disposent ici, en Côte d'Ivoire, d'un théâtre de tests en grandeur réelle, qu'elles n'hésiteront pas un seul instant à exploiter.
Salyff Guélasséhanda
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