Depuis l’avènement historiquement accidentel de Sarkozy au pouvoir d’Etat en France, de mémoire d’Homme, les contribuables français n’ont pas aussi tant souffert que sous la 5e République.
Sarkozy par-ci, Sarkozy par-là à travers le monde, avion présidentiel, les avions du Glam (Avions gouvernementaux), jets privés…tous ces aéronefs malgré le coût excessif actuel du carburant, au service du prince n’ont aucun répit. De capitale en capitale, de continent en continent, pour le moindre petit événement qui n’ébranlerait pas un vrai chef d’Etat réellement occupé. Tout ceci, au frais des contribuables. Ces pauvres français qui souffrent actuellement avec un taux des plus élevés de chômage en Europe.
Comme si cela ne suffisait pas, ce sont des sommes énormes du budget français qui sont englouties en Afghanistan, au Liban, en Haïti, aux Comores, en Côte d’Ivoire, pour entretenir des spadassins, on ne sait à la recherche de quelle gloire ! Sinon passer pour son orgueil personnel.
Sarkozy veut compter. Surtout compter dans le monde où l’on ne le compte pas ; où l’Histoire souvent cruelle, ignore les petits et ne retient que des Grands, à juste titre pour leurs hauts faits. Seulement pour accomplir ces hauts faits, il y a des exigences d’éthique morale qui s’imposent : L’humilité, la modération, la considération pour le genre humain… et surtout l’équilibre de l’esprit et des sens dont doit être capable tout vrai responsable pour une saine appréciation des situations et une juste mesure dans les prises de décisions.
Or, Sarkozy, on le connait, par friand des médias jusqu’alors s’illustre par des déclarations intempestives et des prises de décision ubuesques très loin du bon sens.
Avec Sarkozy, les fils des grandes révolutions de 1789, de 1830, de 1848 et de la commune de Paris de 1870, ne se retrouvent plus dans ce que leurs ancêtres ont légué de plus cher à l’humanité entière:
les Droits de l’Homme, la Liberté, l’Egalité des races, la Fraternité, toutes ces idées généreuses acquises chèrement souvent au prix d’énormes sacrifices sont piétinés par Sarkozy.
Si les grands penseurs du « Siècle des Lumières » revenaient à la vie aujourd’hui, ils seraient immanquablement frappés immédiatement de crise cardiaque, au vu de ce que Sarkozy aurait fait de leur héritage.
Pauvres contribuables français, qui triment durement, en ce moment, face à l’inflation, au chômage, on exige d’eux de casser leurs tirelires, de déchirer leurs bas de laine, pour financer loin de l’Hexagone des guerres auxquelles, ils ne comprennent rien, sinon que pour faire plaisir à la démesure et aux caprices mondains d’un homme qui ne compte pas pour l’heure dans le grand jeu de la mondialisation et qui voudrait coûte que coûte compter parmi les Faiseurs de décisions.
Jamais autant d’otages n’ont été enlevés et assassinés sous la 5e République française que sous le règne de Sarkozy !
On sait où ce genre de folie humaine, ou d’orgueil mal placé a conduit l’Humanité. En effet, nous avons souvenance des ravages de la Seconde Guerre mondiale due à la folie des grandeurs, à l’orgueil démesuré d’un homme, Hitler qui voulait voir l’Europe à ses pieds.
Sarkozy devrait apprendre à ses dépens que les Français ont des besoins primaires à financer plutôt que d’entretenir la soldatesque en Côte d’Ivoire et qui se la coule douce avec des sommes faramineuses dont les chômeurs, les sans abris, les veuves, les orphelins auraient tant besoin pour améliorer leur ordinaire au quotidien en France.
Sarkozy, les sommes faramineuses jetées à la fenêtre en invitant Blaise Compaoré à Paris pour discuter de ce qui ne regarde ni de près, ni de loin, les Français et les Burkinabè, ces sommes auraient pu aider les milliers de déshérités français ou burkinabé qui en ont tant besoin.
Yako ! Vraiment les Français. Pauvre de contribuables condamnés à la misère sous le règne de Sarkozy qui par dandysme, préfère dépenser des milliers d’Euro en faisant d’un avion présidentiel un palace de mille et une nuits pour les beaux yeux de sa Chimène de Carla, et dépenser autant en carburant pour aller voir sa photo posée nue, mise aux enchères à New York.
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